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VAN EEN AAP IN I777.
Bij „Secretairie Cabinet” waren toen twee van Riels;
de een was klerk, de ander commies.
invloed, die echter voortdurend op voet van oorlog leefde
met den Hertog van Brunswijk.
Toen de Prins van dit schrijven hoorde, schreef hij
aan mevrouw Gallitzin „une lettre des plus polies” om
zich bij haar te verontschuldigen, waarop hij van haar
een antwoord ontving dat, in strijd met de onderteekening,
haar doet kennen als eene allesbehalve „trés humble et
trés obéissante servante”.
Over dit antwoord ten zeerste ontstemd, schreef de
Prins aan den Hertog van Brunswijk den volgenden brief:
Pour que V. A. voye tout ce qui a rapport a l’affaire
de l’ourang-outang, je dois Lui envoyer la lettre que j’ai
re<;ue dimanche dernier de Mde de Gallitzin, que je La
prie de faire déposer ensuite ches Van Riel auprès du
reste des pièces. Pour l’intelligence il faut scavoir que
Mde Je Gallitzin écrivit une lettre pleine d’injures
contre Vosmaer a Mde de Dankelman, qui finissoit, autant
qu’il m’en souvient: si le fait nest point tel, je vous prie de
ne pas faire d’usage de cette lettre, mais saus cela vous
en pouvez faire tel usage que vous voudrés, je ne le désa-
votierai jamais.
La dessus j’écrivis a Mde de Gallitzin une lettre des
plus polies pour lui faire mes excuses de ce qui étoit
arrivé, que j’aurois soin que ce qui restoit de l’animal
fut envoyé au Sr. Campen pour le disséquer; que je n’avois
scu que trop tard que l’animal étoit mort pour prévenir
qu’il fut écorché, et qu’elle ne pouvoit douter que j’eusse
eu l’intention de tenir parole, puisqu’une personne trés
respectable m’ayant demandé de faire disséquer eet animal
par le Professeur Munnicks, je lui avois répondu ne
pouvoir le faire, vu que je l’avois promis a Mr. Campen.