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VAN EEN AAP IN 1777.
Je suis
A. de Gallitzin.
avec un profond respect
Monseigneur,
Votre trés humble et trés obéis-
sante servante
Degeen, die echter het kind der rekening werd, was
Vosmaer. Al dadelijk kwam hij in botsing met den heer
Je suis trés faché de n’avoir pas gardé copie de cette
lettre, et sur cela je recus la réponse ci-jointe
Je prie V. A. de ne pas faire semblant de scavoir tout
ceci, quoique il n’y aye pas dans le fond de mistere a
tout cela, mais je ne doute pas que V. A. ne sera guères
édifié du stile de Made ]a Princesse de Gallitzin.
G. Pr. d’Orange.
La Haye ce 2 Février 1777.
Het briefje van mevrouw Gallitzin, slordig geschreven
.op een onooglijk velletje papier met een inktvlek, luidt:
Monseigneur
Le mal est fait! il est irréparable. Car dans l’état ou
le Sieur Vosmaer a mis l’animal en question, il n’est
plus possible que l’habile homme auquel il étoit destine
en tire l’utilité qu’il comptoit consacrer a l’histoire natu
relle, pour faire honneur a la protection de Votre Altesse
Sérénissime. Tous ce que je puis dire c’est que je plains
un Prince si généreux d’etre si mal servi, et que j’admire
Son extréme condescendance a supporter les infractions
qu’une basse jalousie a seule pü faire commettre, au
mépris des ordres qu’Elle m’a fait l’honneur de m’assurer
avoir donné pour la prévenir.