GIJSBERT KAREL VAN HOGENDORP 153 i) Arch. Hog. 11. Dagboekaant. G. K. z.d. 11 et ses regards eussent réveille toute mon ame, j’aurais apparu a ses yeux tel que mes plus beaux momens me représentent mon image dans le miroir de mon imagi nation. La campagne, mon pélégrinage, le voisinage apparent de eet été, quelles matières, rendez-vous au concert de ce soir, parlé a l’église, invité chez les parents, maudite plume, démon qui me bride a feu lent, tout perdu, triple perte plus je me la représente, centuple par ses suites. Quelles seront les conséquences nécessaires! C’est un sot, c’est un étre ridicule, qui en répandrait sur ceux qui converseraient avec Lui. Dieu! Dieu! Quel était il qui eut pu me disputer en ce moment le talent de plaire? Celui qui me dit, elle est faite pour faire tourner la tête a tout le monde, tandis que touché au plus profond de mon coeur, je ne disais mot? Ceux qui 1’attendent pour Lui donner la main sans la regarder? Ainsi aiant tous les avantages pour moi, pouvant me distinguer par un ton modeste, une expression naturelle, des sentimens vrais, qu’ai-je fait-abandonné la partie. O qu’une nuit troublée est peu de chose, que cent jours et cent nuits se passent de même et que toute idéé me rappelant celle de mon inactivité plus méprisable que tous les crimes me serve de tourment, jusqu’a ce que ce ridicule être devienne ce que dés le berceau fut son sort humain, mais ce que peut-être jusqu’a sa veillesse il n’atteindra pas.” Den volgenden morgen, als Gijsbert Karel terugkeert van zijn gebruikelijke ochtendwandeling door de duinen, schrikt de moeder van zijn uiterlijk. Zij toont haar be zorgdheid, maar de zoon zwijgt en *s avonds vindt zij een briefje op haar schrijftafel waarin hij haar verzekert

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Jaarboeken geschiedkundige vereniging Die Haghe | 1943 | | pagina 171