GIJSBERT KAREL VAN HOGENDORP
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1) Arch. Hog. 12. G. K. aan Mevr. v. H., 28/9 1784.
2) Arch. Hog. 12. G. K. aan Mevr. v. H., 12/12 1784.
En, hij kent haar spottenden toon over ,,1’amour roma-
nesque”, dien hij zeker nu in het geheel niet verdragen
kan. Zooals hij haar later eens schrijft: „Vous vous
étonnez trop, ma chère mère, de ce que vos enfans
craignent de vous prendre pour confidente de leur
amourSouvenez-vous de vos remarques a chaque
passage de nos lectures communes qui touchoit l’amour.
Vous y répandiez du ridicule. 11 est vrai que les expres
sions, surtout dans les auteurs frangois, sont souvent
exagérées, il est vrai que le veritable amour manque de
peintres, mais il est vrai aussi, que vos remarques fer-
moient le coeur de vos enfans et que plus un coeur sen
sible, une imagination peut-être d’autant plus ardente,
qu elle est retenue, feront approcher l’amour de vos en
fans de l’amour romanesque, plus ils craindront ou de
vous offenser ou de se prêter au ridicule par un aveu
sincère de quelque attachement.” En wat hem ook hin
dert is de weinige oprechtheid waarmede de moeder over
liefdesaangelegenheden met haar kinderen spreekt.
,,Quand vous me parlerez de femmes en me regardant
avec inquietude en m’examinant avec timidité, je n’aime-
rai jamais poursuivre la conversation. Quand vous me
parlerez de femmes avec franchise, avec tranquilité, je
vous répondrai a coeur ouvert.” 2)
Daar de mondelinge uiteenzettingen scherp en heftig
worden, probeert hij haar nog eens schriftelijk te over
tuigen, dat de oorzaak van haar onrust slechts is een
„bagatelle”. Superieur klinkt zijn toon; alleen naar „des
principes entièrement calculés sur l’amour et le respect
filial” zal hij handelen. Hij verwijt zijn moeder haar
wantrouwen en haar heftige woorden: