EEN JEUGDLIEFDE VAN 166 H. ou je pense i) Arch. Hog. 81. Dagboekaant. Mevr. v. bien été Ia première peine que tu m’aye causé en ta vie, mais elle a été cruelle, si tu en es pénétré, tu va présentement redoubler d’attention sur toi-même pour ne te laisser maitriser par ta passion que tu serois malheureux, si tu négligeois les belles qualités de ton ame pour ne nourrir que la passion a présent domi nante de ton coeur. R.S.V.P. non j'attends au con traire de toi que tout ce que tu feras va être animé par l’envie de plaire, principalement a Elle, la nom- merai-je? La chère Henriette. Mais moi, ton père, tes soeurs, tes frères, toutes ces relations si chères, existoit pour Toi avant Elle, que l’envie de te rendre digne d’elle, allume ton désir de remplir de mieux en mieux tous tes devoirs. Rends Moi heureuse Mère! Alors, voila qui est done dit. Veux tu m’en donner la main que nous serons désormais amis? Réponds. O trés certainement me faut-il quelques lignes de ta main en explication de 1’affreuse peine que tu m’a causé et tu m’a promis que je saurois la bagatelle comme tu l’apelle mais qui m’a donné tant d’inquiétudes.” De zoon berouwt het al half, dat hij haar zijn geheim heeft prijsgegeven. Hij schrikt terug voor de realiteit, die zijn moeder hem voor oogen stelt. Veel te onzeker, te verwarrend is zijn gevoel en al meent zijn ijdelheid te zien, dat hij wederliefde opgewekt heeft, zeker is hij daar allerminst van, en daarbij komt nog de twijfel of zijn moeder wel begrijpen kan wat er in hem omgaat. J’ai prévu vos craintes et inquiétudes sans nombre, elles naitront a chaque jour en plus grande multitude et que par la vous me désespérez. Je vous déclare qu’il y a des momens

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Jaarboeken geschiedkundige vereniging Die Haghe | 1943 | | pagina 184