EEN JEUGDLIEFDE VAN
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x) Arch.
H.
aan Mevr. v. H.
v. Hog. 8. Mr. W. v.
faires de familie peuvent causer. Je ne puis juger des
qualités intrinséques de la Demoiselle. C’est a vous a
en juger, mais a tout prendre, il me semble, que ce
mariage ne doit pas se faire trop vite; a moins qu’on
fut engoué du coté de la Demoiselle du mérite de
Charle, fait pour rendre une femme heureuse et qu’on
voulut en sa faveur faire des avantages que je ne puis
ni prévoir, ni me figurer étant ici.
Voila mon sentiment.” x)
Als deze brief in Holland komt, behoort de liefde
voor Henriette Torek van Rosendaal al tot een ver ver
leden. Spoedig, nadat de vraag om advies door Me
vrouw van Hogendorp naar Indië verzonden was,
schrijft Gijsbert Karei de volgende aanteekening in zijn
dagboek:
„Que suis-je devenu!
De faibles indices m’ont rendu le plus heureux des
hommes, au moins pour les momens d’enthousiasme
que la solitude me procura. D’aussi faibles, de bien
plus faibles me rendent infortuné. Et tous ces beaux
projets, formés pour l’avenir sur ces frêles fondemens,
que sont-ils devenus? Fumée.
J’entre au bain, mais c'est un supplice. Pourquoi me
fortifier? Donner a mon sang ce flux rapide? Réveiller
mes esprits? Autrefois pour Toi. Maintenant pour me
rendre plus susceptible de mon infortune, pour aigrir
mon agitation.
Fou! Est-tu si sérieux, que tu ne peux entrer dans
les jeux d’une fille, est tu si pathétique que tu ne peux
lui parler que le langage du sentiment, et que n’y
voiant pas moien, tu dois ne rien Lui dire?