EEN JEUGDLIEFDE VAN 178 x) Arch. H. aan Mevr. v. H. v. Hog. 8. Mr. W. v. faires de familie peuvent causer. Je ne puis juger des qualités intrinséques de la Demoiselle. C’est a vous a en juger, mais a tout prendre, il me semble, que ce mariage ne doit pas se faire trop vite; a moins qu’on fut engoué du coté de la Demoiselle du mérite de Charle, fait pour rendre une femme heureuse et qu’on voulut en sa faveur faire des avantages que je ne puis ni prévoir, ni me figurer étant ici. Voila mon sentiment.” x) Als deze brief in Holland komt, behoort de liefde voor Henriette Torek van Rosendaal al tot een ver ver leden. Spoedig, nadat de vraag om advies door Me vrouw van Hogendorp naar Indië verzonden was, schrijft Gijsbert Karei de volgende aanteekening in zijn dagboek: „Que suis-je devenu! De faibles indices m’ont rendu le plus heureux des hommes, au moins pour les momens d’enthousiasme que la solitude me procura. D’aussi faibles, de bien plus faibles me rendent infortuné. Et tous ces beaux projets, formés pour l’avenir sur ces frêles fondemens, que sont-ils devenus? Fumée. J’entre au bain, mais c'est un supplice. Pourquoi me fortifier? Donner a mon sang ce flux rapide? Réveiller mes esprits? Autrefois pour Toi. Maintenant pour me rendre plus susceptible de mon infortune, pour aigrir mon agitation. Fou! Est-tu si sérieux, que tu ne peux entrer dans les jeux d’une fille, est tu si pathétique que tu ne peux lui parler que le langage du sentiment, et que n’y voiant pas moien, tu dois ne rien Lui dire?

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Jaarboeken geschiedkundige vereniging Die Haghe | 1943 | | pagina 196