GIJSBERT KAREL VAN HOGENDORP 181 H. coeur! ce res- lequel manifesté cette malheureuse soiree. Encore est-il vrai, qu’elle n’a point d’esprit supérieur, mais certes beau- coup de naturel. En bien, si sa raison se dévéloppe avant que le mauvais exemple achève de la corrompre, ne peut Elie acquérir beaucoup de vertu? Et serait-ce une idéé si absurde, que de vouloir dévélopper cette raison? Il ne faut pour cela ni étude, ni livres. La raison, qui est la faculté de juger de toutes choses, peut s’exercer sur toutes choses et c’est sur ses jeux que je puis commencer a la rendre raisonnable. Mais quel ascendant faut-il savoir prendre sur cette beauté qui en impose a tout le reste! Je voudrais n’avoir ja mais été vu d'Elle. Je crains que mon entreprise ne soit déja impraticable.” x) Spoedig ziet hij het nuttelooze daarvan: „Si la vertu en impose (et ne l’ai-je pas mille fois vu?O mon coeur conserve la done dans ton sanc- tuaire. Que la profligation des autres m’en hardisse et que mon expression pénètre jusques dans son Oui, je ne veux pas de toi. Si tu n’es digne de i peet que je tache de mériter moi-même et sans je t'abandonne a tes fréluquets. Cours dans leurs bras! En attendant je veux te voir et t’entendre. Et me suis-je abusé, vas, tu ne verras pas mes pleurs; puissai- je n’en avoir a verser que sur mon propre sort!” 2) „Un vide affreux dans mon coeur me rend bien malheureux tous ces jours. Oü est celle qui te convien- dra, Charles! Et tu sens cependant au fond de ton ame qu’il t’en faut une. 1) Arch. v. Hog. 11. Dagboekaanteekening G. K. v. 2) Ibidem.

Gedigitaliseerde gedrukte materialen Haags Gemeentearchief

Jaarboeken geschiedkundige vereniging Die Haghe | 1943 | | pagina 199