GIJSBERT KAREL VAN HOGENDORP
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1) Arch. Hog. 11. Dagboekaant. G. K. v. H.
2) Arch. Hog. 11. G. K. aan Mevr. v. H.
la je la pénêtre, que je tache de m’y faire voir a Elie
tel que je suis, que j’emploie les derniers efforts pour
distinguer l’ingénuité de l’affectation, la simplicité du
ton commun, 1’ame noble et capable d’ornemens et de
culture, de ce vulgaire auquel un extérieur angélique
sait donnet quelque prix, enfin que je soie homme,
c’est a dire, que je ne demente jamais mon caractère
et que je ne me laisse jamais intimider que par une
mauvaise action. Que je conserve la presence d'esprit
et le respect de moi-même et ne perde 1'espoir qu'a
l'extrémité.” x)
In Juli 1782 reist hij zijn broer Dirk, die uit Duitsch-
land terugkeert, tot de grens tegemoet. In gezelschap van
hem wordt dan het voorgenomen bezoek op Rosendaal
afgelegd met als gevolg de volkomen desilluzie. Geen
dagboekaanteekeningen zijn bewaard, slechts een laco
niek briefje wordt door de moeder ontvangen, waarvan
de laatste zinnen teekenend zijn voor de kentering in
zijn gevoel:
,,Nous avons été regu trés bien a Rosendaal. D(irk)
est enchanté de Me. J’ai su me promener avec H(en-
riette), Betje, la cadette Lodicio et sa gouvernante.
Nous fumes bien. Hélas, je commence a lui croire
moins de fond et plus de coquetterie, si l’un va toujours
ainsi en augmentant et l’autre en diminuant, il faudra
se guérir. Je l’ai trouvée moins belle. La terre est
extrêment belle. Quelle forêt délicieuse.” 2)
„moins de fond et plus de coquetterie”; eigenlijk doet
het er weinig toe, hoe het meisje werkelijk was. Zij werd