EEN JEUGDLIEFDE VAN
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H. 23 Juli 1782.
que moi dans ce pays, qui sache son affaire, attendons
que son coeur s’épenche, il faut que cela vienne de
soi-même
Zij
zoon
x) Arch. Hog 81. Mevr. v.
,,Je sens ce que vous voulez ma chère mère en me
montrant ce que dans des instans de reflexion et de
solitude vous avez confié au papier pour vous déchar-
ger d’un poids qu’il fallait soulager.
Vous voulez pénétrer ma conduite en me forgant a
me justifier de vos plaintes. Mais hélas, voila tout le
mistère. Ma conduite est naturelle et nullement mysté-
rieuse. Vous qui trouvez de l’art que je déteste dans
mes actions, aurez par la même toujours des plaintes
a faire.
Je commence par vous assurer que je ne vous expli-
querai rien, paree que mes paroles n’ont point de sens
caché, ni besoin d’une elucidation par écrit
Je sais ma chère mère, que ce billet vous déplait par
le coté, qui ressemble a ma conduite, il est fier, tran-
chant, peu amical, direz-vous; vous eussiez préférez
une explication bien détaillée. Permettez moi de vous
dire que c’eut été alors du jargon. Que ce billet n’a
pas besoin d’etre doux ou social, mais que je le serai
toujours en votre société et même dans notre corres-
pondance, excepté dans un cas ou vous m’obligez a
Als Dirk haar vertelt, dat Gijsbert Kareis optreden
bij de Torcks te Rosendaal zoo geheel anders dan ge
woonlijk was, en hij al zijn best deed om bij het meisje in
den smaak te vallen, begrijpt zij er nog minder van.
tracht zijn vertrouwen terug te winnen, maar de
verweert zich: